A propos de Nice

et puis finalement c'est l'accordéon
qui étreint l'éternité vagabonde

les lignes longues scintillent
ton œil brise, tisse, tressaille
les courbes frêles s'écaillent
 
sur les visages d'antan
surgit cette vie
qu'on saisit parfois
en arpentant le présent

crépitements d'instant
lointains maintenant
et, caressant chacun
jaillit, étincelant, ton élan